ROBIC salue les 50 années de pratique d’un de ses pionniers, Me Hugues Richard!

ROBIC SALUE LES 50 ANNÉES DE PRATIQUE D’UN DE SES PIONNIERS, ME HUGUES RICHARD!



Ambassadeur incontesté de la propriété intellectuelle au Canada, juriste accompli, agent de marque émérite, conférencier recherché, professionnel reconnu internationalement, plaideur aguerri, esprit visionnaire et
avant-gardiste, mais surtout, homme de cœur au parcours inspirant et captivant, voici un court survol
à propos de Hugues Richard, un homme d’exception.

Bien évidemment, on ne tarit pas d’éloges à son endroit lorsqu’on prend connaissance de tous ses accomplissements réalisés en 50 années de pratique, dont 45 passées au sein du cabinet ROBIC.

C’est d’ailleurs en associant les cabinets Léger Robic Richard et Robic qu’il a été possible de créer une vraie pratique multidisciplinaire composée d’avocats, d’ingénieurs, d’agents de brevets et de scientifiques. « Un mariage peu évident au départ mais qui a bien fonctionné et dont je suis fier aujourd’hui. » raconte Hugues Richard.

Nous pourrions passer en revue l’ensemble de ses succès, vanter plusieurs de ses mérites, mentionner le nombre impressionnant d’implications para-professionnelles auxquelles il s’est consacré mais ce qui le rend d’abord et avant tout unique, c’est l’être humain engagé, fidèle et sensible qu’il a toujours été.

Hugues Richard est formel sur la question : « Quels sont les premiers mots qui vous viennent en tête lorsque de vous faites le bilan de votre carrière? ». Sans équivoque, il répond que les liens étroits qu’il a créés avec ses collègues et les grandes amitiés bâties au fil des années sont les plus beaux acquis auxquels il puisse penser. En parlant de ses amitiés qu’il qualifie « d’indélébiles », il pense notamment à Georges T. Robic et Jacques A. Léger.

Toutefois, c’est à Sylvia Barchechat, son adjointe qui lui a été fidèle tout au long de sa carrière au cabinet qu’il souhaite dédier toute sa reconnaissance. « Sylvia est la personne qui m’a le plus aidé au cours de ma carrière, elle m’a entre-autres protégé et je suis devenu qui je suis en partie grâce à elle. » dit-il visiblement ému.

Hugues Richard n’a jamais eu froid aux yeux. Son amour pour la pratique du droit et son grand sens de la rhétorique lui ont fait vivre de nombreux succès.

« Hugues G. Richard a plaidé le rejet d’une demande d’injonction interlocutoire visant un message publicitaire fondé sur une parodie du feuilleton hyper-populaire (à l’époque) Des dames de coeur de Lise Payette sans avoir visionné un seul des épisodes (et a quand même fait rejeter la demande). Une simple question de droit, pas de faits ! » raconte Laurent Carrière.

En plus de ses nombreux talents professionnels, Hugues Richard a su démontrer ses grandes aptitudes pour la gestion des êtres humains. Il fut impliqué tout au long de sa carrière à la gestion du cabinet et se chargea de superviser les embauches de plusieurs avocats talentueux qui sont aujourd’hui des associés réputés en propriété intellectuelle. C’est avec le sourire dans la voix qu’il raconte les embauches de Laurent Carrière, François M. Grenier, François Painchaud, Bob H. Sotiriadis et Dario Pietrantonio. « J’ai une petite histoire autour de chacun d’eux. Ils ne m’ont jamais déçu ».

L’appréciation entre les élèves et le maître est réciproque « Hugues a été mon premier contact lors de mon entrevue au printemps 1986. Il a été mon mentor et, encore aujourd’hui, il est une source d’inspiration lorsque je suis appelé à prendre des décisions importantes tant pour les clients que pour le cabinet. » affirme François Painchaud.

Pour Barry Gamache, il ne fait aucun doute que son ex-collègue est un modèle à suivre.
« Hugues Richard est un gentleman, un homme cultivé, un collègue hors-pair. C’est quelqu’un de très agréable à côtoyer, il est impossible de se fâcher en sa présence. C’est un avocat au sang-froid, qui ne se laisse jamais décontenancer et cela, peu importe les situations ».

Un autre plaideur, Bob H. Sotiriadis a été engagé par Hugues Richard à la suite d’une affaire dans laquelle ils étaient dans des camps opposés. « J’étais jeune et il était l’avocat le plus cool et le plus éloquent que j’avais jamais rencontré. J’ai passé ma carrière à essayer de faire de mon mieux pour être à la hauteur de la confiance qu’il m’accordait. »

En plus des réalisations notables, en dehors des grands procès auxquels il a participé et de ses diverses implications, incluant ses 10 ans à l’IPIC, Hugues Richard ne manque pas de mentionner sa participation à la création des deux livres de référence en propriété intellectuelle qui font la renommée de ROBIC encore aujourd’hui.

Pour la petite histoire, en 1976, au moment d’entamer sa carrière en propriété intellectuelle, Hugues Richard fît le constat qu’il n’y avait aucun livre de référence sur les marques de commerce avec mises à jour régulières. Est alors venue l’idée de rédiger un guide complet pour remédier à la situation. Une fois par semaine pendant plusieurs années, dès 7 h, toute l’équipe s’affairait à créer un premier livre de référence, lequel fût publié en 1984 par la Maison Deboo (aujourd’hui Thomson Reuters).  En 1993, l’éditeur fit de nouveau appel au cabinet afin d’obtenir un second livre de référence, cette fois-ci, sur le droit d’auteur.

En plus d’avoir contribué aux Robic-Canadian TradeMarks Act Annotated,
Robic-Canadian Copyright Act Annotated et Robic-Loi canadienne sur les marques de commerce annotées, Hugues Richard a collaboré à la rédaction d’innombrables articles sur le droit de la propriété intellectuelle. Ce travail acharné et méticuleux est un héritage inestimable pour la profession.

Avec un bagage d’expériences riches et formatrices, Hugues Richard se permet de donner quelques conseils judicieux aux plus jeunes qui veulent avoir du succès : travaillez fort, évitez de vous mettre les pieds dans les plats et suivez le code de déontologie de façon stricte. Voilà qui est dit!

Malgré tous les efforts consacrés à sa réussite professionnelle et personnelle, Hugues Richard croit énormément au facteur de chance dans la vie ou du moins à la capacité de la saisir lorsqu’elle se présente. Pour sa part, il se dit très chanceux et aussi très intuitif.
« Je suis une personne très sensible, j’ai toujours fait confiance à mes émotions et à mes intuitions ».

Bien qu’il se soit dédié assidument à cette profession, il ne va pas jusqu’à qualifier celle-ci de passion puisque la seule qu’il puisse y avoir dans sa vie est sa conjointe, Louise Poirier. C’est d’ailleurs avec le regard lumineux qu’il parle de celle qui l’a épaulé tout au long de sa carrière et a su assumer son rôle de mère et d’épouse, en plus d’exercer la profession de notaire avec brio. Amoureux de la femme de sa vie, fidèle à ses amis, père choyé de deux filles et grand-père de cinq petits-enfants, Hugues Richard consacrera désormais son temps à ses loisirs qu’il affectionne depuis toujours c’est-à-dire enfourcher son vélo autour du globe, jouer au tennis et skier aussi longtemps que possible!

Alors qu’il était très jeune, Hugues Richard rêvait de devenir capitaine d’un paquebot. Bien que naviguer sur les eaux des mers du monde ne fut pas son destin, Hugues Richard aura saisi sa chance d’être à la barre d’un navire exceptionnel et de mener son équipage à bon port…comme l’aurait fait un grand capitaine.